Mercredi 21 août à Uzeste

« Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage » Jean Jaurès

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À Uzeste

10h Espace NVO – Communication débat

Sens du travail ?

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]La projection du documentaire Tête haute ouvre la porte à une réflexion sur le sens du travail, le désir du bien travailler, percutés par la violence des nouvelles organisations dans les entreprises et les services. Une deuxième porte est à ouvrir : celle du lien entre art et syndicalisme.[/dropdown_box]
En présence de Serge Le Glaunec (responsable de l’espace culturel confédéral CGT) Yves Gaonac’h (réalisateur) Alain Delmas (CGT) Bernard Lubat (directeur artistique) David Brunet (directeur technique) Fabrice Vieira (régisseur général) Julien Dourgnon (économiste, ancien collaborateur au cabinet d’A. Montebourg)

11h Parc Seguin  –  spectacle pour petits et grands enfants

spectacle payantConte sur nous (1)

Conte sur nousde et par Tanguy Bernard et Jaime Chao
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Une paire de trouvères offre à voir une odyssée fantastique. Ils se jouent d’un conte à tiroirs où les histoires s’imbriquent les unes aux autres jusqu’à en perdre le compte. On ne tourne plus les pages, on se met à la page ! On observe le conte retrouver sa dimension orale, musicale et même improvisée.
Puisant librement parmi des textes et poèmes, de la musique rythmée ou libre, ce spectacle prend la forme du conte dans sa dimension universelle, s’adressant à toutes les générations et se prêtant bien au jeu du grand écart entre tradition et improvisation. Ils content sur eux et comptent sur vous. Un rendez-vous sans garde à vous : Conte sur nous ![/dropdown_box]

11h Salle des fêtes  – Projection (60mn) en partenariat avec Artistes et associés

Eden

En présence de la réalisatrice Sarah Millot, 10min, 2008, Oz Da Trau.
Une pomme dans un verger. Deux enfants nus et couronnés. Une genèse pastorale.

Nous bâtissons des maisons et traçons des chemins

En présence de la réalisatrice Sarah Millot, 50 min, 2006, Oz Da Traum.
Des corps, des visages et des gestes composent une fresque où les figurants occupent le devant de la scène.

12h Espace NVO – Apéro poïélitique

Les artistes atterrés

Météo temps bas, micro climat traqueur, tsunami majeur, excitation culturelle, d’ici d’en et d’ailleurs paroles d’artistes acharnistes

14h Salle des fêtes – Projections débat

Utopie autres chemins « ou pas »

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Après 5 ans passés à décortiquer le cirque politique et ses uses dans la chronique Mon oeil sur France2, Michel Mompontet a décidé cette année de s’intéresser à la question de l’optimisme en politique ; L’optimisme comme une réponse au pessimisme généré par la pensée ultralibérale en cours. Mon oeil aura duré 209 numéros, contre vents et marées. Mais les Carnets d’Utopies, titre de la chronique aura été interrompu au bout de seulement 2 numéros, 6 initialement prévus, et ce malgré une réaction enthousiaste des téléspectateurs, réaction très inédite et massivement chaleureuse. Que penser de cet arrêt si ce n’est la difficulté qu’ont les médias généralistes à aborder, traiter la question des utopies, et ce bien sûr sans les caricaturer. Les Carnets d’Utopies auront montré des expériences utopiques contemporaines qui fonctionnent économiquement et politiquement depuis 2 ou 3 décennies. Albert Londres disait qu’un reporter vient pour écouter et comprendre avant de juger. Dans cet ordre. Les éphémères Carnets d’utopie n’eurent pas d’autres ambitions.[/dropdown_box]
Projection de Carnet d’Utopie sur le Plateau de Millevaches
Débat avec Michel Mompontet et Marc Bourgeois (fondateur d’ambiance Bois, pionnier français de l’autogestion participative) Bernard Lubat (utopiste poïélitique) Jean François Cazeaux (philosophe)

Projection de Carnets d’Utopie 2 sur l’expérience de Marinaleda, en Andalousie
Coopérative agricole autogestionnaire.
Débat avec Antoine Chao (journaliste France Inter, émission Là-bas s’y j’y suis)

14h Kestion d’éthique  – Théâtre

Correspondance amicale

Interpellation textuelle à l’actualité saisissante par Pierre Mazaudier et Hadi Boudechiche
« Quand les kilomètres, les océans, les déserts nous séparent, il nous reste les mots et les souvenirs ». Jean Tousseul

14h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Concert

spectacle payantPetite Vengeance

Raphaël Quenehen joue des saxophones. Jérémie Piazza joue de la batterie et des …………………. [dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Leur musique est improvisée. Ceci étant, nous avons remarqué qu’elle s’apparente régulièrement à une sorte de …………., d’où émane une atmosphère d’affrontement et de ………….. sous-jacent. De ces tornades improvisées résulte une surprenante énergie qui impressionnerait un troupeau de ……………………… . Cependant, réduire leur musique à de l’énergie brute serait un raccourci trompeur car Petite Vengeance nous emmène aussi dans les méandres intimes de la ………………, où une réelle sensibilité suscite inévitablement la comparaison avec le théâtre anglais du ….ème siècle.[/dropdown_box]

14h Grange Vieira – Spectacle

spectacle payantDuo corps à cordes

Thomas Boudé (musique) Paul George (danse)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Un duo/duel entre musique et danse qui ne cesse de s’entrechoquer au plus grand bonheur des deux artistes. Lorsque le corps accorde les cordes,  et  que les cordes font vibrer le corps encore, les dés sont jetés,  les deux singularités jouent leurs peaux  dans une course improvisées sans arrêts ![/dropdown_box]

15h Grange Chao – Concert

spectacle payantVocaltitude (1)

Fabrice Vieira (voix) Stéphane Cazilhac (piano)
Au menu de cette vocaltitude baryton mayonnaise, soprano de dinde, mezzo libanais et autres ténor de Brest. La voix est un second visage. Ne vous inquiétez pas, tout est sous contrôle.

15h Kestion d’éthique  – Concert

À marée basse

Gabriel Pierre et Paul Armandy (contrebasses)

15h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Spectacles amusiciens

spectacle payantLes soli-solo de Los Gojats

Les jeunesses tansartistiques dans leurs tiers états uniques
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Des jeunes artistes qui refusent de se laisser simplifier, qui s’inventent d’ici d’en l’avenir de leur futur. Humeur humour et sens critique en situation critique[/dropdown_box]
À voix basse, Jules Rousseau (guitare basse)
Guitare éros,  Thomas Boudé (guitare)
On y va ? J’arrive ! Louis Lubat (batterie)
One man Chao, Jaime Chao
Tanguy sous roche, Tanguy Bernard (tchache)
Trompette de la renommée, Paolo Chatet (trompette)
Saxitude, Mathis Polack (saxophone)

16h Grange Chao – Spectacle

Et si les manchots apprenaient à danser le tango (1)

par Pierre Lambla (saxophone) et Julien Dourgnon (textes)
Chaise conférence musicale à propos d’un revenu universel. Quoi d’autre qu’une conférence musicalisée pour narrer par anticipation, la fleur du fusil révolutionnaire syncopée entre les dents, ce que pourrait devenir notre société engourdie dans son déterminisme d’exclusion du temps plein de l’aliénation au travail salarié exclusif, continu, contraint et forcé. Distribuer et non redistribuer une fraction de nos richesses collectives à chacun à part égale. Un revenu levier d’une nouvelle émancipation des individus en pleine activité. Un modèle économique et social parfaitement accessible.

16h Kestion d’hétique  – Théâtre

Fresques et pittoresques (1)

Concerto pour bar à voix, de et par Isabelle Loubère et Marie-Anne Mazeau
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Tragédie du quotidien de femmes qui n’ont l’air de rien. Très librement inspiré de Casaus perduts, Fresques et pittoresques retient l’atmosphère et le souffle de l’œuvre de Bernard Manciet dans l’interprétation qu’en font Marie-Anne Mazeau et Isabelle Loubère.
Dans un petit café perdu au fond des Landes deux tenancières parlent de leurs congénères. Elles brossent le portrait des femmes de leur village. Femmes à la vie difficile, au destin parfois sans lendemain. Jusque-là pas de quoi se rouler par terre. Mais les deux tenancières ont une certaine façon de voir les drames de la vie. Et c’est avec une certaine malice qu’elles retracent ces fatales destinées de femmes qui doivent affronter : le souvenir qui rend zinzin, le mauvais œil du traversin, la trahison, la fin de la jeunesse regrettée, l’exil, le mariage mal assorti, la survie, l’alcoolisme du fond du lit, le rat qui ne veut pas crever…[/dropdown_box]

16h30 Salle des fêtes  – Projection (1h40mn)

Une proposition de la NVO CGT et Uzeste Musical

Les jours heureux (2)

Projection du documentaire suivie d’un débat en présence du réalisateur Gilles Perret

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]2013 : 70e anniversaire du CNR. Les jours heureux c’est le titre du programme rédigé par le Conseil National de la Résistance. C’était entre mai 1943 et mars 1944, sur le territoire français encore occupé, 16 hommes, appartenant à tous les partis politiques, tous les syndicats et tous les mouvements de résistance, voulaient changer durablement le visage de la France, et rédigeaient, dans la clandestinité, ce texte qui sera au cœur du système social français d’après guerre puisqu’il donnera naissance à la sécurité sociale, aux retraites par répartition, aux comités d’entreprises…[/dropdown_box]

17h Parc Seguin – Conférence débat

La victoire de Jaurès

De et par Charles Silvestre (écrivain et journaliste au journal L’Humanité)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]En 2010, Charles Silvestre avait fait paraître « Jaurès, la passion du journaliste ». Son nouvel ouvrage , intitulé « La Victoire de Jaurès » doit sortir début septembre aux éditions Privat. Il porte cette fois-ci sur la trace qu’a laissé Jaurès dans le siècle. C’est une façon d’inaugurer le centenaire en 2014 du tribun socialiste.[/dropdown_box]

18h Espace GFEN

Le Gueuloir

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Lecture publique du Manifeste manifestif de Lignan de Bazas, écrit la veille, pour ouvrir enfin le pouvoir de l’imaginaire et celui de l’improvis’action. Lecture des textes du jour que le public d’Uzeste aura écrit dans la foulée du Manifeste.[/dropdown_box]

18h30 Espace CCAS  – inauguration

« La musée » le musée d’un autre genre

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Ce que vous ne verrez jamais (la salière d’Ernest-Antoine) et ce que vous ne verrez plus (un compteur EDF datant du service public). Comme toute espèce disparue ou en voie de l’être, l’ouvrier à maintenant, sa galerie, son musée : La Musée ainsi nommé en hommage à Piotr Kowalsky, mineur lorrain d’origine polonaise, pour ne pas dire douteuse, qui aimait commencer la journée par ce bon mot : On n’est pas là pour l’amuser, la galerie ! Insolite, iconoclaste et décalé ce pittoresque espace culturel vous invite à déambuler parmi ses découvertes et ses trésors. Ouvert sur le monde et, comme lui, en perpétuelle mutation ce lieu interactif et spirituel, vous invite à la méditation. Enfin un bon plan social ![/dropdown_box]
Avec la fanfare de La musée : Pierre Lambla, Raphaël Ghenehen (saxophones) Quentin Gomari (trompette) Jérémie Piazza, Simon Lacouture, Fawzi Berger (percussions) Fabrice Vieira (porte-voix)

19h Collégiale – Concert

spectacle payantDouble solo

Michel PortalMichel Portal (clarinettes) François Corneloup

François Corneloup (saxophone)

19h30 Espace NVO – Lecture

La cinquième saison d’Anny (1)

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Du mercredi 21 au samedi 24 août sur le stand NVO, avant l’apéro swing, lecture par des artistes d’extraits du livre d’Anny Gleyroux La cinquième saison. Militante CGT, militante de la culture, féministe, souriante pas complaisante, tenace et irritante, humaniste, tenante du débat contradictoire, Anny a joué en 2012 sa dernière saison de l’Hestejada d’Uzeste.[/dropdown_box]

20h Salle des fêtes  – Projection (52′)

Lionnes : enquête sur une reconstruction au féminin

Un documentaire de Fred Kristiansson, parrainé par l’ONU, retrace le combat de Godeliève Mukasarasi pour l’égalité des sexes au Rwanda suite aux violences sexuelles faîtes aux femmes lors du génocide.[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »] Le réalisateur est allé à la rencontre de toutes les actrices qui ont bâti le Rwanda de 2011 dont le Parlement est le plus féminisé du monde.
Après la projection: rencontre/débat avec Adélaïde Mukantabana (présidente de l’association Cauri, Bègles) et de Espérance Brossard (présidente d’honneur de l’association IBUKA FRANCE, Paris)[/dropdown_box]

20h Espace NVO – Apéro swing

Le peuple étincelle

François Corneloup (saxophone) Éric Dubosc (basse acoustique) Michaël Geyre (accordéon) Fawzi Berger (zabumba) Fabrice Vieira (guitare et au chant)

20h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Concert

spectacle payantMichel Macias solo

michel maciasLe grand accordéoniste jazzcon musette dans son répertoire, ses chansons, ses improvisions

21h Pré Cazaubon – Danse contemporaine

Pavane (2)

Conception et interprétation : Raphaëlle Camus, Mélissa Garcia Carro, Mathilde Olivares,
Création lumière et sonore : Christophe Barrière
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Pavane est une performance qui a pour force motrice les visages, comme les terrains de l’affectation, de la socialisation et de la manifestation d’autrui. Ils se transforment et se décomposent dans une lenteur hypnotique, pour déformer l’image initiale et former un ballet des visages, cinématographique et pictural, où pourrait apparaître une infinité de possibles identitaires. Les expressions, les tentatives, les images se succèdent et s’entremêlent, circulent à l’intérieur du trio, tantôt drôle, grotesque ou tragique.
Le visage, lorsqu’il s’abandonne témoigne d’une confiance à l’égard du regard, cette confiance présuppose l’égalité.[/dropdown_box]

22h Chapiteau Alban Lubat – Spectacles

spectacle payantSous les mots dits à l’ouïe

Juliette KaplaFautes de frappe

de et par Juliette Kapla
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Solo à mots nus et à voix découverte. Improvisations vocales et verbales, langues très étrangères, chant parlant. « J’ai pris une bonne révolution. Demain, j’arrête. J’arrête de croire. »
Né d’une recherche sur l’improvisation vocale ludique, ce spectacle est devenu un solo de clown où Juliette Kapla chante de toutes les manières, danse désespérément, se bat avec une chaise et ne parle qu’en lapsus. Comme l’écrivait Romain Gary : Toutes les réussites sont des échecs qui ont raté.[/dropdown_box]

Loin d’être fini

Écriture, mise en scène, interprétation : Gilles Defacque
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Partons à la découverte de l’univers d’un humain comme à la découverte d’un territoire inconnu ou insoupçonné, d’un être en voie de disparition. Ses faits et gestes, ses chansons, son cirque d’intérieur. Une série d’autoportraits aux noix et aux marrons, entre comédie et mélancolie… Sur le fil du funambule… Une piste de foire, un bric-à-brac de forme, un solo Donquichottesque. Un pied de nez à toute notion de genre. Esprit chagrin et cartésien s’abstenir ! Après Bégaiements, Gilles Defacque redonne du cabaret. Maboul à lui tout-seul, il ne tient pas en place. Saura-t-on le stabiliser ?[/dropdown_box]

Free Taxe Taxi : le bolide de la Cie Lubat de Jazzcogne

Passager invité à la course : le saxophoniste, musicien et compositeur de jazz, Émile Parisien, révélation de la scène musicale européenne.
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Comme une course folle jusqu’au bout de la nuit… Trajet à l’infini d’énergie. La liberté n’a pas de prix… Sans froid ni loi… Le transport est gratuit. État d’urgence en réflexe convexe, la pointe avancée d’une avant-garde champêtre jazzcognitive. Au delà du réel… Oreille dissolue… À l’improvision nue. Une esthétique d’avant les formes[/dropdown_box]

00h Patio l’Estaminet – Ciné concert

Ciné concert de poche

par Lison De RidderPaatrice Marchand et invités
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Art Calcaire : dessins à la craie dans les rues, sur les arbres. Profitez du bitume pour y inscrire des brins de couleurs et des commentaires graphiques dessins collectifs, graffitis bios selon des contraintes de terrains, de jeux, entre fresque, parcours, labyrinthe et cadavre exquis. Création, initiation au film d’animation image par image, les séquences réalisées seront incluses dans le docu’animafiction tourné pendant la semaine
du festival mêlant les talents du vidéaste d’animation, du documentariste, et du dessinateur. Le résultat sera projeté lors du ciné concert de poche : conçu comme un laboratoire d’expérimentation de l’image et du son ouvert.[/dropdown_box]

00h30 Patio l’Estaminet – Bal

Le peuple étincelle

le peuple etincelleFrançois Corneloup (saxophone) Éric Dubosc (basse acoustique) Michaël Geyre (accordéon) Fawzi Berger (zabumba) Fabrice Vieira (guitare et au chant) et invités de la nuit
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Où il est question du Peuple, non pas celui des nantis dont la musique savante et formolée s’écoute dans la bulle insonorisée d’une grosse berline allemande mais celui des petites gens modestes, les pue-la-sueur, les qui lèvent le coude et parlent trop fort, celles qui tissent cette mémoire-là venue du bistrot, de la fête d’un soir de printemps, de coups d’entraide et d’engueulades mémorables, de la vie comme elle va quand on n’a pas grand chose sauf la vie-merci. 
Corneloup, fort inspiré sous son chapeau rigolo, a écrit une série de mélodies simples et belles comme des ritournelles (ce qui ne veut pas dire que les jouer relève de la promenade de santé !!! ) dont la forme couplet-refrain permet de les faire tourner aussi longtemps qu’on le souhaite et d’en proposer de multiples variations.[/dropdown_box]

01h Kestion d’éthique – Musique à danser

Los Gojats

 

spectacle payantBilletterie : Billet à la journée du 21 au 24 => Tarif plein : 25 €, tarif réduit : 20 €
Billet souscription festival du 21 au 24 août Tarif plein : 80 euros / Tarif adhérent : 60 euros